Tant qu’il y aura des victimes, il y aura des bourreaux, et je te remets ça…
Moi, ce que j’en dis… Puis je ne voudrais pas m’attirer les foudres des bourreaux qui, ayant du métier, risqueraient de me poser des problèmes.
M’attirer les foudres des victimes ? Qui se transformeraient, le cas échéant et un autre déchéant en bourreaux ?
Non, c’est pas possible !
Quoique… Non…
Non, puis ça n’a rien à voir avec les minorités exploitées, tabassées, enfermées sous la coupe de salopiots, qui finissent, un jour ou l’autre par se faire virer ou se faire dégommer. Victimes qui prennent le pouvoir. Puis qui…
Faut pas tout mélanger : les victimes, c’est pas du pareil au même. Victimes elles sont, victimes resteront.
Certes il arrive que lesdits salopiots disparaissent comme ça, pfuttt ! et qu’on en n’entende plus parler ni gueuler.
Laissant la place vide.